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Justice : deux parents trainent leur fils devant la barre.

Écrit par sur 26 janvier 2021

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Ils accusent leur enfant le prénommé Eric de violence sur ascendants, blessures sur ascendants et vol!!!

Pour la petite histoire, c’est en novembre 2018 que tout commence. Les plaignants soutiennent que le fils Eric Kwam d’environ trente ans s’est pointé à leur domicile familial alors qu’ils se préparaient à se rendre à l’hôpital, le papa étant souffrant. Après des avances infructueuses à la quatrième épouse de son papa,  le jeune homme va intimer l’ordre à cette dernière de quitter la maison car il ne souhaite plus là voir en ces lieux. Face au refus de la concernée, le ton va monter et Éric va s’en prendre tant à l’épouse qu’à son père. Selon les victimes, leur bourreau de fils ne va pas se gêner pour les bastonner et rouler dans la boue. Bastonnade au cours de laquelle, une somme de huit cent cinquante mille francs cfa va disparaitre soit sept cent mille francs cfa pour Mme kwagne Suzanne et cent cinquante mille francs cfa pour Kwam Luc Joseph. Des accusations vont vite se porter sur le jeune Eric, mais des accusations qu’il rejette en bloc, et compte une tout autre histoire. Il fera savoir au juge que le jour de l’incident, il est sorti comme à son habitude vaquer à ses occupations laissant son père à la maison qui avait des soucis de santé. Une fois de retour le soir, il ira prendre de ses nouvelles, c’est à cet instant que l’épouse de son père dame kwagne Suzanne va lui crier dessus car Éric avait interdit à son père de continuer de mener l’activité de « ben skin » qu’il avait débuté suite à ses problèmes de santé.

Au cours de l’audience qui a eu lieu le lundi 25 janvier dernier au tribunal de première instance de Ndokoti, la partie civile a demandé une somme globale d’un million huit cent cinquante mille francs cfa de dommage et intérêt. À la fin des débats, le président du tribunal va tenter d’apaiser les tensions et demander une fois de plus d’accorder le pardon à leur fils. La réponse des plaignants restera catégorique « NON », toute chose qui a suscité l’indignation dans la salle d’audience. L’affaire a été renvoyée au 1 févier prochain pour délibérer !!!


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